Guillaume le conquérant, ou Guillaume le bâtard (c’est un enfant naturel) est nait en 1027 ou 1028 à Falaise, en Normandie. On ne connait pas la date exacte de naissance de Guillaume le Conquérant car les documents retraçant cette période ne sont pas concordants. Guillaume le Conquérant meurt à Rouen le 9 septembre 1087, des suites d’une mauvaise chute de cheval. Il aura été duc de Normandie de 1035 à sa mort et roi d’Angleterre de 1066 à sa mort.

Fils illégitime de Robert le Magnifique Ier de Normandie, Guillaume le Conquérant devient duc de Normandie en 1035 lorsque son père meurt à Nicée en rentrant de  pèlerinage à Jérusalem. Il n’a alors que 8 ans et la bataille autour du duché fera rage pendant plusieurs années. Les principaux barons de Normandie utiliseront sa bâtardise pour tenter de récuser son autorité. De nombreux complots donneront lieu à plusieurs assassinats dans l’environnement proche de Guillaume le Conquérant. Lui même échappera de peu à un attentat. Avec l’aide du roi de France Henri Ier, Guillaume le Conquérant va partir en campagne contre les rebelles normands.  Il défait ses derniers à la bataille du Val-ès-Dunes, près de Caen en 1047.

Cette victoire marque le premier tournant du règne de Guillaume le Conquérant et lui permet de pouvoir enfin reprendre en main son duché, même si il devra par la suite affronter de nombreuses oppositions même au sein de sa famille.
En 1049 Guillaume le Conquérant obtient un mariage avec Mathilde de Flandres, fille de Baudouin V, comte de Flandres. Le mariage sera prononcé au début des années 1050, scellant ainsi une Alliance entre les deux plus puissantes principautés du nord de la France. Dès lors le duc Guillaume le Conquérant devra faire face à de multiples ambitions et dès 1052 le roi de France Henri Ier changera d’alliance afin de limiter l’expansion de son vassal normand. De nombreuses batailles et offensives auront lieu jusqu’en 1060 lorsque Guillaume le Conquérant se verra enfin débarrassé de toute menace sur son duché. Il aura soin de rétablir l’ordre en ayant une judicieuse politique de distribution des terres. Il contrôlera les vicomtes et s’appuiera sur des fidèles (ses demi-frères, des barons et des ecclésiastiques).

Il semble également que dès 1051-1052 le roi Edouard le Confesseur, souverain d’Angleterre ait encouragé Guillaume le Conquérant à lui succéder étant donné que le père d’Edouard et sa mère (grande-tante paternelle de Guillaume) avaient trouvé refuge à la cour normande en 1013 lorsqu’ils avaient été chassés d’Angleterre avant d’y revenir en 1042 afin qu’Edouard soit couronné. Cependant lorsque Edouard meurt en 1066 il n’a pas de descendance et la bataille pour sa succession fera rage. Un temps allié de Guillaume le Conquérant, Harold Godwinson revendiquera la couronne.

C’est en 1066 que Guillaume deviendra véritablement Guillaume le Conquérant, lors de la conquête normande du royaume d’Angleterre et de la victoire de  Guillaume le Conquérant sur les troupes d’Harolds à la bataille d’Hastings le 14 Octobre 1066. Guillaume le Conquérant deviendra ainsi le souverain d’Angleterre, mais il aura malgré tout fort à faire pour conserver sa place et devra même lutter contre l’un de ses propres fils.

La saga de la raffinerie Petroplus de Petit-Couronne, près de Rouen, semble incarner l’histoire de la transformation du pétrole en France et en Europe.

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Originellement détenu par le néerlandais Shell depuis 1929, cette usine de production est devenue la propriété du suisse Petroplus en 2008. Cette holding connait quelques soucis financiers, avec notamment le gel par les banques d’une ligne de crédit d’un milliard de dollars,. En conséquence Petroplus prend la décision au début de l’année 2012 de vendre la raffinerie de Petit-Couronne, après avoir arrêté la production.

Retour sur les causes économiques de ce fiasco et sur le combat des salariés, des syndicats et de la direction du site de Rouen.

Un contexte pétrolier en profonde mutation.

Lors des trois dernières décennies, le monde pétrolier en Europe, et notamment en France, a du faire face à de profondes mutations. Jusqu’à la fin des années 70, le principal carburant utilisé par les automobilistes était l’essence, qui fut progressivement remplacé par le gasoil. Aujourd’hui, la consommation de gasoil est d’ailleurs devenue trois fois plus importante que celle de l’essence.Lors des trois dernières décennies, le monde pétrolier en Europe, et notamment en France, a du faire face à de profondes mutations. Jusqu’à la fin des années 70, le principal carburant utilisé par les automobilistes était l’essence, qui fut progressivement remplacé par le gasoil.

Aujourd’hui, la consommation de gasoil est devenue trois fois plus importante que celle de l’essence, impliquant une adaptation des raffineries européennes avec des investissements massifs pour produire du gasoil.

De façon plus générale, la consommation de carburant est également en baisse depuis 2007, mouvement qui devrait se poursuivre, l’heure étant aux voitures propres, aux nouveaux carburants, et à un autre mode d’utilisation des véhicules (transports en commun, covoiturage…).

La faillite du groupe Petroplus et l’arrêt du site de Petit-Couronne.

C’est dans ce contexte très difficile que début 2012 le groupe Petroplus se déclare en faillite, laissant dans l’incertitude la plus totale ses cinq raffineries européennes, et ce malgré avoir affiché jusqu’en 2008 des grands projets ambitieux et des prévisions d’investissement importantes. La raffinerie de Petit-Couronne entre alors dans le chaos.

Au premier semestre 2012, après avoir été mise en cessation de paiement, la raffinerie arrête ses unités de production, et elle dépose son bilan devant le tribunal de commerce de Rouen. Elle est placée en redressement judiciaire pour six mois. En février, avec l’appui du gouvernement Fillon, des négociations avec l’ancien actionnaire Shell aboutissent à un contrat de processing, une première dans l’histoire mondiale du pétrole. Cela permet à la raffinerie de redémarrer, en juin, après quelques travaux nécessaires.

Au second semestre 2012, le tribunal de commerce de Rouen étudie plusieurs offres, toutes jugées incomplètes, notamment NetOil (Dubaï), Alafandi Petroleum Group (Hong Kong), et celles d’autres investisseurs, libyens, iraniens et irakiens. En décembre, faute de prolongation du contrat avec Shell, la direction décide d’arrêt de la raffinerie. Début 2013, malgré le pessimisme ambiant, le gouvernement, par l’intermédiaire d’Arnaud Montebourg, annonce qu’il serait prêt, en cas de repreneur crédible, à prendre une part minoritaire dans le capital. Le délai pour les offres de reprise est une nouvelle fois repoussé, la prochaine échéance étant fixée au 16 avril 2013.

Petroplus, un combat médiatique acharné

Dès l’arrêt de la raffinerie, les administrateurs judiciaires, la direction, les syndicats et les salariés de l’usine de Petit-Couronne n’ont eu qu’une seule idée en tête : faire redémarrer l’activité pour trouver un acquéreur crédible. L’accord de processing conclu avec Shell est d’ailleurs considéré comme une victoire, une raffinerie étant plus facile à vendre quand elle tourne.

La volonté est également de porter le combat à Bruxelles, afin d’obtenir que la Commission Européenne regarde de plus près le dossier et engage un chantier de sauvetage du raffinage au sein de l’Union Européenne. L’objectif est également de pousser la Commission européenne à s’exprimer et à délivrer un message politique clair, afin de rassurer les repreneurs potentiels en quête de garanties sur l’avenir de cette activité en Europe.

Sur le sol français, un combat législatif a également été engagé, notamment par une proposition de loi dont l’objectif est d’instaurer un visa environnemental et social pour les importations de pays tiers afin d’assurer une égalité de traitement des produits.

Sur le terrain, l’ensemble des salariés et des syndicats ne se démobilisent pas et continuent à secouer les médias et l’opinion publique, sur ce chantier économique et symbolique. L’enjeu de ce combat touche l’ensemble de l’activité raffinerie en France, et également en Europe.

L’aéroport de Deauville-Normandie proposant une vingtaine de destinations différentes, est en 2012 en nette progression avec 142 230 passagers enregistrés à Deauville (+11% par rapport à l’année dernière – Chiffres DGAC).  Fort de ce dynamisme, d’autres destinations sont lancées pour emmener les voyageurs normands vers de nouveaux horizons.

Actuellement l’aéroport de Deauville-Normandie offre 24 destinations charters, sans oublier la ligne régulière pour Londres avec 50 minutes de vols et 1h30 de porte à porte pour rejoindre le centre de Londres.  Le fret de chevaux occupe aussi une place importante au sein de l’aéroport. En effet, Deauville-Normandie est le premier aéroport français pour le transport de chevaux de galop destinés à la reproduction.

En 2013, de nouvelles destinations sont mises en place permettant ainsi aux voyageurs d’embarquer à Deauville pour se rendre en Pologne (2 à 3 vols programmés pour le mois de mai), en Croatie  (Dubrovnik-Pula de mai à septembre) et Bastia (de mi-juillet à mi-aout).

A l’étoffement de cette offre, l’aéroport travaille au développement de lignes régulières en faveur des milieux d’affaires et de la clientèle touristique.  Les destinations « soleil » sont privilégiées avec des vols-charters vacances pour la Tunisie, le Maroc, les Baléares, la Crète, Malte, Madère… mais de nouveaux pays s’ajoutent ponctuellement à cette offre comme l’Espagne, l’Italie, l’Ecosse…

Il est a noter que l’aéroport de Deauville-Normandie a adapter son accès pour les personnes à mobilité réduite en mettant à disposition un ascenseur

La randonnée à cheval est une façon ludique et agréable de parcourir la Normandie, en famille ou entre amis. Il existe différents itinéraires et lieux à découvrir, tous aussi intéressants et qui offrent de belles heures de balade. Les côtes du littoral par la baie du Mont Saint Michel, les paysages contrastés entre bocage et campagne, une gastronomie riche, un patrimoine historique unique, des légendes magiques… la Normandie s’ouvre à vous !

Des randonnées de plus de 100 kilomètres

Plusieurs boucles à cheval ou en attelage sont possibles pour découvrir la Normandie lors d’une randonnée équestre. Parmi les nombreux choix, on trouve la route des Abbayes. Cette boucle de 155 km vous transporte entre les différents points de culte de la région, en cinq étapes, de Cerisy-la-Forêt à l’abbaye du Mont Saint Michel. La randonnée des haras nationaux vous fera quant à elle parcourir près de 190 km sur le thème du cheval puisqu’elle emprunte une route dont les étapes sont marquées par les différents haras de la région, du Haras-du-Pin, dans l’Orne, au haras de Saint-Lô, dans la Manche. La promenade sera rythmée par les spectacles équestres et la découverte des différentes architectures des haras.

Des circuits pour tous les goûts

Pour ceux qui préfèrent les randonnées plus courtes, il existe de nombreuses boucles qui empruntent des itinéraires variés.

Dans la Manche, l’attelage de Sartilly vous transporte à travers la baie du Mont Saint Michel sur les petits sentiers de bocage typiques de la région. On peut profiter du paysage et du point de vue imprenable sur le Mont pendant 30 kilomètres. La vallée de la Vire propose également une jolie boucle d’environ quarante kilomètres, à travers lesquels trois circuits sont possibles, pour mieux connaître la nature de cette fameuse vallée. La boucle du Cap de la Hague fait quant à elle 41 km et emprunte des chemins plus étroits, parfaits pour les cavaliers en recherche de sensations fortes et voulant parcourir la Normandie à travers sa nature la plus sauvage.

Dans le Calvados on trouve le circuit des Sablons et ses 8 kilomètres de promenade dans la nature et même la découverte des plages du débarquement ou de la Suisse Normande.

L’Orne propose également un vaste choix de parcours avec la Voie verte Perche et ses 65 kilomètres d’activités multiples,  la Voie verte Flers/Domfront et ses 85 kilomètres d’anciennes voies ferrées aménagées loin de la circulation, sans oublier le circuit d’attelage en forêt d’Andaines à Bagnoles de l’Orne.

La Normandie, berceau du cheval

En gîte rural, chambre d’hôte ou en hôtel, les hébergements proposant un accueil des chevaux sont nombreux en Normandie. Ils bénéficient d’une prairie et d’un box pour permettre à votre monture de se reposer, idéal pour les longs séjours de plusieurs jours !

Surnommée le berceau du cheval, la Normandie offre des périples mémorables au travers d’une promenade équestre et comporte un grand nombre de centres équestres, en plus d’accueillir en 2014 le grand évènement des Jeux Équestres Mondiaux. De nombreuses promenades différentes s’offrent à vous pour découvrir la région à cheval , sans avoir besoin d’un niveau exceptionnel d’équitation pour partir se promener.

Golf de Dieppe Pourville

Créé en 1897 par le célèbre architecte Anglais Willie Park Junior, le golf de Dieppe-Pourville est l’un des plus anciens parcours de France, le septième exactement.

Avec d’admirables points de vue sur les falaises blanches de Pourville et Varengeville, varié, vallonné, boisé, tantôt links, tantôt parkland à l’anglaise, agrémenté de deux obstacles d’eau, voilà un parcours dont nombre de fairways sont séparés par des sapins aux branches basses.

Accessible aux joueurs de tous niveaux mais redouté des meilleurs, où l’on ne s’ennuie  jamais, où chaque coup est différent. L’architecte Fourès a signé les quatre trous de la falaise, exposés  au vent du large et dominant un panorama grandiose de falaises crayeuses plongeant dans la mer.

L’ancêtre des golfs normands est l’un des parcours incontournables de Normandie.

Site Web : Golf Dieppe – Pourville, un golf sur les falaises.

Golf d’Etretat

Le golf d’Etretat, perché en haut des falaises normandes et surplombant la baie d’Etretat, est l’un des 3 plus remarquables golfs marins de France.

Centenaire célébré en 2008, son parcours est en perpétuelle évolution. Son célèbre trou N°10 le rend encore plus spectaculaire.

Vous découvrirez, en jouant sur le golf d’Etretat un terrain exigeant, mais quelque soit votre score vous  garderez le souvenir d’un moment magique…

Vous pourrez aussi rêver à Arsène Lupin et à son créateur Maurice Leblanc, à Guy de Maupassant, au compositeur Offenbach, aux peintres Corot, Boudin, Monet et comme eux, vous aimerez Etretat.

Site Web : Golf d’Etretat, un golf marin au sommet des falaises.

Golf du Havre

Situé à 10 kilomètres du Havre, le golf du Havre ne semble pas présenter de difficultés particulières quand on le découvre. Néanmoins, il vous faudra aborder ce parcours de 5980 m (Par 72) avec respect pour jouer votre handicap.

Méfiez vous tout particulièrement de ses greens de tailles moyennes très bien défendus, de ses fairways pas très larges entourés de roughs épais très pénalisants, de ses  arbres et de ses nombreux hors limites. Cependant, malgré le vent souvent présent, le golf du Havre n’est pas difficile physiquement car très plat et donc abordable sans voiturette par tous.

De plus, l’accueil qui vous sera réservé au club-house et  au restaurant vous laissera un souvenir inoubliable de votre passage au Havre.

Site Web : Golf du Havre – Octeville sur Mer.

Golf public de Jumièges

Le golf public de Jumièges Le Mesnil est situé dans un environnement majestueux, au cœur du parc naturel régional  des boucles de la Seine normande et sur la route des fruits, à  quelques encablures des superbes tours de l’abbaye.

Fait d’espaces forestiers étroits sur une douzaine de trous et de plaine, on ne s’y ennuie jamais, d’autant qu’il est agrémenté de quelques légers vallonnements. Comme toujours lorsqu’il s’agit de  passer d’un espace à l’autre, des fairways étroits taillés dans les bois aux grands rough à l’écossaise qui encerclent les trous de la plaine, il faut driver droit.

Autre atout, le golf de Jumièges est parfaitement équipé d’un magnifique practice et d’un pitch and putt de 9 trous. Le bonheur des débutants et l’idéal pour les stages.

Site Web : Golf public de Jumièges – Le Mesnil.

Golf de Rouen

Le golf de Rouen La Forêt Verte, à 20 mn de la cathédrale de Rouen, à 10 mn de l’autoroute Rouen-Calais et 40 mn de la côte d’Albâtre, est un Par 72 légèrement
vallonné et toujours bien vert.

Rendu délicat par la cinquantaine de bunkers qui défendent des greens pourtant larges et par des obstacles d’eau qui viennent corser la difficulté, ce parcours né en 1991 propose un défi sportif à la dimension de chaque joueur.
L’une des qualités de ce parcours est de proposer une alternance de trous en forêt et en plaine avec de larges fairways, donc abordable pour les débutants et les joueurs moyens.

L’architecte T.Huau a voulu conserver au golf de La Forêt Verte son écrin de
verdure alors qu’il n’est qu’à portée de drive du centre ville de Rouen. Sa notoriété lui vient également de la qualité de l’accueil, toujours chaleureux, de sa simplicité et de son excellent entretien.

Site Web : Golf de Rouen la Forêt Verte.

Golf de Saint-Saëns

Le golf de Saint-Saëns, situé entre Rouen et Dieppe, au centre de la forêt d’Eawy, la plus grande hêtraie de France, n’a pas son pareil en Normandie, havre de calme, d’arbres centenaires et de verdure.

Il propose une diversité dans le jeu de par ses trois secteurs distincts : “La vallée” , “La forêt” et “Le plateau” pour finir au 18, sur l’immense green bordé de bunkers avec le superbe château en arrière-plan qui offre à l’ensemble une réelle majesté. Le golf de Saint-Saëns accueille “L’Open International de Normandie” depuis quelques années, épreuve de l’ALPS Tour Européen.

Pour votre confort un hôtel de 13 chambres a été ouvert en juillet 2008. Ce parcours, âgé de 23 ans, a ainsi gagné la patine qui marque la maturité des vieux parklands du Surrey ou du Sussex, dans le sud de l’Angleterre.

Site Web : Golf de Saint-Saëns – Château de Vaudichon.

Au Nord de la Haute Normandie, saviez vous que la baie de Somme était une destinations de vacances privilégiée des amis des animaux ?

C’est en Baie de Somme que vous pourrez apprécier un séjour très « nature et découverte » dans un cadre préservé idéal pour vivre un séjour au milieu d’espèces animales étonnantes !

Super sympa pour des vacances en famille avec des enfants, qui seront ravis de découvrir leurs animaux favoris évoluant dans leur milieu naturel.

Visite à la colonie de phoques de la Baie de Somme

La baie de Somme est célèbre pour sa colonie de phoques, regroupant deux espèces différentes, les Phoques veau Marins et les Phoques gris, que les vacanciers pourront observer de près à la « baie aux phoques », à marée basse.
A Cayeux sur mer, on peut apercevoir de nombreux phoques, en particulier le long des bancs de sable au large de la pointe du Hourdel.
Profitez des visites guidées proposées sur place. Vous y trouverez des circuits variés et surtout adaptés aux familles avec des enfants. Mais vous ne trouverez pas que des phoques en Baie de Somme …

Les oiseaux de la Baie de Somme : vacances ornithologiques

la baie de Somme est également connue pour les nombreuses espèces d’oiseaux migrateurs qui y séjournent entre l’Afrique, où ils passent l’hiver et l’Europe du Nord où ils se reproduisent. Vous pourrez les observer dès l’arrivée du printemps, entre le mois de mars et le mois de juin, quand ils regagnent le Nord de la France, leur site de nidification.
L’été est la période où vous pourrez observer le plus d’espèces de petits échassiers, avant que ces derniers ne regagnent de nouveau l’Afrique. Chevaliers, bécasseaux, courlis … mais aussi des huitriers pie qui ont pour habitude de stationner en baie de Somme lors des fortes marées. Profitez là aussi des visites guidées proposées par la Maison de l’Oiseau de la Baie de Somme et l’association Picardie Nature.

Emmener votre animal de compagnie en vacances avec vous

Vous aimez les animaux, alors vous en avez surement adopté un !
Alors vous souhaitez surement l’emmener avec vous en vacances dans la Baie de Somme ?
Avec Madame Vacances, c’est désormais possible. En effet, votre animal de compagnie sera le bienvenu dans notre Résidence les Terrasses de la Plage *** à Cayeux sur Mer.

Alors amis des bêtes : ne vous privez plus et choisissez la Baie de Somme pour vos prochaines vacances !

Vous prévoyez de passer un séjour ou un week-end  en Normandie, pour organiser au mieux ce tourisme en Normandie, voici quelques idées et lieux à ne pas manquer à partir d’une simple carte de Normandie.

Route des impressionnistes

En partant du Tréport, vous pourrez longer la cote normande. Elle est appelée la route des impressionnistes, entre le Tréport et Le Havre. Ce sera l’occasion de découvrir de petits villages absolument charmants ainsi que des paysages de toute beauté. Il faut s’arrêter à Etretat afin d’admirer ses magnifiques falaises. Ensuite direction Le Havre qui mérite de s’y attarder pour visiter notamment son centre-ville. C’est Auguste Perrel qui fut l’artisan de sa reconstruction après la guerre. Pourquoi ne pas profiter de ce moment pour parcourir la campagne.

Côte fleurie

Si vous y passez une journée au cours de vos vacances en Normandie, n’hésitez pas à pousser jusqu’à la chapelle Notre Dame de Grâce, vous découvrirez une vue magnifique sur le port du Havre et sur la baie de seine. Un week-end en Normandie ne vous permettra pas ces petits détours, mais vous promettra bien des surprises.

Après cette halte, il est possible de prendre la direction de Cabourg, en passant par Honfleur, station balnéaire chic, de la côte fleurie. L’église Sainte Catherine, de style normand, est construite en bois, le musée Éric Satie et les galeries d’art sont des incontournables de cette vile bourgeoise. Un week-end en Normandie peut se passer à Honfleur tant cette ville est singulière et envoutante. Entre les chapelles à la mémoire des pêcheurs, sa capitainerie, son vieux port et ses greniers à sel, c’est une ville incomparable de cette côte.

Cabourg, avec ses maisons datant de la belle époque et son casino, permet de faire une halte reposante et gourmande. À Houlgate, suivez le circuit des villas, vous ferez ainsi le tour de la vile accompagné par un guide. La perle de la côte fleurie offre bien des surprises, la randonnée se termine par une halte au panorama permettant aux visiteurs de découvrir la cote normande.

En suivant la carte de Normandie, l’étape suivante sera Deauville, pour vous y rendre, il suffit d’emprunter la route longeant les plages. Vous découvrirez alors l’architecture qui est propre à la région grâce aux villages de Villers sur Mer et Blonville sur Mer. Deauville est une station balnéaire et un lieu emblématique d’une certaine époque. Ses boutiques de luxe, sa thalassothérapie, son casino et son hippodrome sont à découvrir, car ils caractérisent bien cette ville. Il faut céder à la tentation de faire une promenade sur le bord de mer et les Planches pour voir les noms de gens célèbres y ayant laissé une trace.

À Trouville, arrêtez-vous manger des moules et des frites dans une de ses célèbres brasseries. Cet ancien port de pêche présente d’autres atouts comme les jolies ruelles qui montent vers la colline, de très jolies maisons les bordent et les galeries d’art et les antiquaires sont nombreux. Le front de mer constitue une promenade agréable qui nous ramène au riche passé de cette commune avec ses villas de style normand, gothique ou renaissance.

Plages du débarquement

Un court séjour en Normandie en prenant Cherbourg comme point d’attache permet de découvrir un peu de l’histoire de France et les plages du débarquement. Cette ville bénéficie d’un climat particulièrement doux, car elle est bordée par le Gulf Stream. Les passionnés de botanique auront le plaisir de découvrir une variété de plantes tropicales somptueuses. Dans cette région les sports nautiques sont de mise.

Le département de l’Eure est un point de départ privilégié pour toute personne souhaitant découvrir le tourisme en Normandie. C’est un département de légende, dans lequel plane mystères et traditions ancestrales sont bien présentes.

Parmi les nombreux lieux légendaires de l’Eure figurent l’abbaye de Mortemer, l’abbaye de Bonport et la Côte des Deux Amants. Ces trois sites ont chacun leur histoire, leur légende et surtout leur mystère…

Certains lieu du département font entièrement partie du folklore et des croyances. Visiter ces sites nous en apprend beaucoup sur les coutumes de l’Eure. Une étrange cérémonie se déroule tous ans dans le village de La-Haye-de-Routot : le feu de Saint-Clair. C’est une véritable tradition populaire durant laquelle on allume un énorme feu de joie, que l’on appelle aussi Feu de Saint-Jean, Fête de Lumière…

L’Eure jouit d’un paysage fluvial remarquable grâce au passage de la Seine au milieu d’un cadre naturel harmonieux et verdoyant. La Seine normande offre bien des plaisirs à ceux qui s’y laissent tenter : des croisières fluviales pour découvrir l’Eure autrement, au fil de l’eau.

D’autres activités vous sont proposées au bord ou sur la Seine : descente en canoë-kayak,  téléski nautique, aviron, escalade, beach-volley, excursions en bateaux et bien d’autres. Différents lieux vous accueille pour vous proposer des moments de détente et des loisirs. Vernon Plage, Base régionale de Loisirs de Léry-Poses et différentes haltes des bords de la Seine.

L’Eure est connue pour être le département des peintres impressionnistes. Les différentes villes du département on en effet inspiré de nombreux artistes. Vous trouverez peut-être également cette source d’inspiration, dans ces villes et villages propices à la rêverie et à la détente. Parmi ces lieux dits impressionnistes, citons Giverny, Gisors, Evreux…

Découvrez la Voie Verte de la Vallée d’Epte : un site idéal pour pratique vélo, marche à pied, rollers… L’Eure regorge de petits coins naturels où l’on peut à la fois se poser pour faire un pique-nique, pratiquer des activités en plein air et découvrir le patrimoine régional de la Normandie. Ses produits, ses recettes, ses artisans et son histoire : il y a encore beaucoup de choses à voir et à goûter sur place.

Une nouvelle aventure photographique au fil de la Seine depuis le ciel entre Giverny et Le Havre.  Imaginer des milliers d’images vues du ciel.  C’est le nouveau projet qu’a réalisé Jérôme Houyvet photographe de Barfleur avec  ce livre « Vol au dessus des boucles de la Seine Normande« .

Le résultat, un livre spectaculaire d’une belle balade aérienne de plus de 200 km au-dessus des merveilles de la Seine, petits coins de paradis à l’abri des regards, châteaux, abbayes, moulins, chaumières et villages, mais aussi grandes cités telles que Rouen, le Havre porte océane…

Avec ce livre  vous découvrirez cette partie de la Normandie comme vous ne l’avez jamais vue !

Les photographies des Boucles de la seine ont été prises depuis  un paramoteur. Les premières images de cette aventure ont été diffusées dans l’émission Des Racines et des Ailes le 18 avril 2012,  offrant un bel avant goût de cette jolie balade aérienne.

Sur le port de Barfleur au bout de la presqu’île du Cotentin, dans sa galerie « Lumières Marines », Jérôme Houyvet  expose des tirages originaux, digigraphies, affiches, posters, cartes postales et reproductions des plus belles images de Normandie.

Plus de détails sur le site de Jérôme Houyvet : Lumieresmarines.com

Le nom de Cabourg, station balnéaire de Normandie, demeure toujours d’origine incertaine, soit germanique, soit scandinave, mais sa fondation découle de sa situation géographique à savoir sur la rive gauche de l’estuaire de la Dives.

Des siècles durant Cabourg est resté un village de petits pêcheurs. L’habitat se concentre principalement autour de deux axes : l’un parallèle au fleuve et l’autre au sud de la route de Caen à Dives. Les dunes situées au nord ne sont pas peuplées à cette période. De plus les marais et leurs canaux représentent un obstacle naturel aux déplacements vers l’ouest. Les XVIème, XVIIème et XVIIIème siècles verront se construire plusieurs ponts en bois, puis en pierre afin de traverser la Dives, avec selon la période un droit de péage ! Cabourg  a cette époque demeure un village peuplé en 1793 de seulement 165 habitants. Cette population ne fera qu’augmenter régulièrement au gré des divers développements de la ville et de ses aménagements.

Dans les années 1850 un homme d’affaires et avocat parisien, Henri Durand-Morimbau séduit par la beauté du site décide de créer une station balnéaire à proximité de ce petit village de pêcheurs qu’est Cabourg. Il fonde alors une Société Thermale qui rachète les terrains riverains de la mer, c’est-à-dire les dunes et les herbages. Le plan du nouveau Cabourg –les-Bains est dessiné, il rappelle un théâtre gréco-romain : les avenues convergent vers une place centrale où se situe le casino, comme une scène. C’est en 1854 que ce dernier est créé, tout d’abord en bois, et des centaines d’arbres sont plantées le long des avenues. Mais les ressources financières ne sont pas inépuisables et Cabourg demeure isolée car non desservie par les trains. A l’époque il faut plus de sept heures pour aller à Paris ! En 1861 un grand hôtel est enfin construit en bordure de mer et le casino est également rebâti en pierre en 1867.

Petit à petit Cabourg se développe, chalets et coquettes villas voient le jour. Entre 1879 et 1892 plusieurs lignes de chemin de fer viendront enfin désenclaver cette ville  de Normandie qui devient une cité balnéaire à la mode. De nombreux équipements sont construits tels que un nouvel hôtel de ville en 1883 (il regroupe aussi l’école des garçons et le bureau des postes), une digue-promenade en 1887, le garden-tennis, le golf près de l’hippodrome. Le Grand Hôtel et le casino sont  reconstruits dans les années 1907 et 1909. Les riches propriétaires ayant acheté des villas à Cabourg la surnomment la « Reine des plages ». Son air est sain, iodé et vivifiant et c’est ainsi qu’elle abritera un illustre visiteur : Marcel Proust. Sept ans durant il viendra soigner son asthme et séjournera au Grand Hôtel, utilisant Cabourg comme décor de son roman A l’ombre des jeunes filles en fleurs. La réalité de la Première Guerre mondiale va calmer cette insouciance. Le Grand Hôtel sera transformé en « Hôpital dépôt de convalescents ». Les années folles verront la construction du Normandy Hôtel, l’Office de Tourisme et Cabourg accueillera même la finale de la Zone Européenne de la Coupe Davis en 1926. En 1929 son nouvel hippodrome sera construit et l’on verra des hôtes célèbres se rendre à Cabourg (Poincaré, Renault…).

Une période plus sombre va alors venir avec la grande crise économique puis la seconde guerre mondiales qui entrainera l’arrêt de toute activité touristique. Les villas et hôtels seront réquisitionnés, la lutte contre l’occupant s’organisera jusqu’à la libération de Cabourg le 21 Aout 1944. Ensuite la Normandie se reconstruit et la Mairie de Cabourg rachète le Grand Hôtel, le Casino et le Golf du Home. André Thiers, maire de l’époque, et Bruno Coquatrix, directeur de l’Olympia, vont rendre à Cabourg sa notoriété et de nouveau des célébrités s’y rendront ( Piaf, Bécaud, Richard…).

Dans les années 1970 la population augmente. L’élection de Bruno Coquatrix en tant que Maire aidera à la prospérité de la ville. Des programmes immobiliers seront concrétisés, la digue sera prolongée, de même qu’une rocade avec accès direct à l’autoroute A13 sera construite.

Et Cabourg est toujours aujourd’hui une merveilleuse cité balnéaire de Normandie.

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